La France, un «laboratoire populiste», la «République d’un despote», «course effrénée à l’électorat du Front national»… Le désormais ex-adjoint à la mairie du 5e secteur de Marseille n’a pas fait dans la nuance lorsqu’il a décidé vendredi de démissionner.
Fin août, il avait porté plainte contre le maire UMP de Saintes-Marie-de-la-mer, pour «incitation à la haine raciale», pour des propos qui rappellent notre voyage enchanté au sein du collectif dit «Droite populaire». Faute d’avoir pu s’expliquer avec François Fillon, il a décidé de claquer la porte.